Dans une salle vide / Will / Attention, NC17 plus que probable !

Sarah s'ennuyait. Il était 20h30, elle avait bouclé ses devoirs, et l'ambiance de la salle commune de Serpentard était franchement... déprimante. Comme tous les soirs... Chicaneries, potins, ragots, malveillance sournoise et larvaire... Regards mesquins... Sarah ne savait pas ce qu'elle abhorrait le plus : la haine dans les yeux des filles ou le désir dans ceux des garçons. Jamais elle ne s'abaisserait à donner à ce ramassis de porcs ce qu'ils voulaient : elle les haïssait bien trop pour ça. Non, la population masculine des plus de quinze ans était largement suffisante à Poufsouffle, Serdaigle et Gryffondor pour lui assurer des soirées jouissives. Et cela n'était pas vraiment du goût de ses camarades de maison...

Sarah Isael, la nymphomane de Poudlard, la fille facile, la belle plante aux formes généreuses, toujours classe jusqu'au bout des ongles - même en pleine partie de jambes en l'air -, et si délicieusement perverse quand elle le voulait bien. Sarah Isael, la bonne adresse pour tous ceux qui voulaient passer une bonne soirée - dans des endroits parfois incongrus et à des heures inhabituelles -, la bonne copine de tous les célibataires esseulés du château. Oui, certains collectionnaient les timbres : Sarah collectionnait les coups d'un soir.

C'était plus fort qu'elle : élevée comme une Lady, promise à un avenir noble et policé, elle avait craqué sous la pression et était devenue une Sang-Pur rebelle, frayant avec les Nés-Moldus et les défavorisés. Et le summum, c'était sa passion : certains aimaient le Quidditch, d'autres les échecs ou la lecture - Sarah, elle, aimait le sexe. Elle ne touchait jamais aux moins de quinze ans - de seize, c'était mieux - ni aux mecs en couple, mais les autres... Maouuu ! Et le pire dans tout cela ? Hé bien, les filles de Poudlard (sauf les Serpentards) l'adoraient. Elle était souriante et agréable, toujours prête à donner un coup de main, voire à jouer les entremetteuses. Oui, Sarah était populaire.

Populaire, mais seule pour la nuit. Elle avait échappé de justesse à Justin Davis, l'affreux boutonneux de quatrième année des Gryffondor, et du coup se retrouvait sans personne pour meubler sa nuit. Elle errait au sixième étage, évitant par habitude fantômes et préfèts - encore que Janessandre Raberba, la préfète des Serdaigle, ne l'ait jamais dénoncée, bien qu'elle l'ait surprise de nombreuses fois en diverses postures ici et là. Elle tourna l'angle du couloir. Dieux, c'était injuste !! Elle avait tellement envie d'exercice, ce soir...

Elle passa mentalement en revue son Top 3. En troisième position, Ludwig Desala. Pas de chance : il s'était trouvé une copine récemment. Top 2 : James Dewan. Parti, il avait deux ans de plus qu'elle et avait fini ses études. Première place du podium : Peter Salmen. Avait viré homosexuel depuis la semaine passé. Perte tragique pour la gent féminine ! Dire qu'elle ne pouvait aller voir aucun des trois pour se consoler...

Ruminant sa déprime, Sarah tourna un autre angle - et percuta une silhouette masculine qu'elle connaissait bien. Cette odeur de tabac moldu... Cette grande taille, ces muscles... Un frisson insidieux lui parcourut le dos, éveillant ses appétits réfrénés, et elle émit un ronronnement de contentement. Wilbur Smith. Quatrième au classement...

Se mordillant les lèvres pour tenter de contenir le feu qui venait de s'allumer quelque part au creux de ses reins, elle sourit sensuellement au Gryffondor, aguicheuse, et laissa ses doigts courir autour de son col.

"Will... Ca me fait plaisir de te voir ici..."

[HJ : je vais te boudais je pensais être dans le top 2 au moins... ça va venir]

Peeve, l'esprit frappeur, le plus bel enfoiré des fantômes que ce p*tain de monde qu'avait connu Wilbur, le salo, ruminant sa colère, il se déplaçait seul dans les couloirs, récapitulant les pièges qui lui resté, les oeufs pourrit ? non trop classique, Un fumigène ? il venait de le faire, un miroir porte malheur ? à quoi bon c'est un fantôme...
Enervé pour être énervé, il l'était, alors qu'il était tranquillement allé au toilette, ce truc, ce bidule, cette immonde pourriture avait ramené Mimi géniarde... si on pouvait même plus poser un cake sans être tranquille... faut dire son rire aussi, évidement qu'il était à poil, il était sur le trône, l'endroit pile poile d'où est sortie cette... Et ce froid, c'est mortel, un truc pareil, ça donne des frissons quand ça vous parcours, un fantôme vous traversant, même Wilbur n'avait pas passé à un truc aussi...

Alors qu'il ruminait sa colère et tourna au coin d'un angle, ne sachant pas vraiment où il allait seulement qu'il était au 6ème étage... un être frêle le percuta, malgré les muscles le choque était rude, c'est le souffle coupé qu'il sentit alors ce parfum... Sarah même aveugle, il reconnaitrait cette odeur ! Il est vrai qu'il avait côtoyé beaucoup de vicieuse mais des nympho comme celle-là, elle te choppe et te les vide jusqu'à la dernière goutte et qu'en y en a plus y en a encore avec elle... Mais c'est vrai que dans un vrai relation, elle ne serait pas si intéressante voir même lassante, une partie de jambe en l'air de temps à autre s'était gracieux...

Tout de suite, elle entama dans le vif du sujet, le parcourant de long en large avec ses doigts fins et ses oncles, il avait encore la trace de certain antécédent avec elle...

-Tu as faim ce soir ?? dit-il sur un ton provoquant et sensuel mais non moins cynique tout en retirant les doigts de Sarah de son torse pour les tenir fermement dans ses doigts, dommage je ne suis pas d'humeur... il lui avait murmurer ces paroles au oreille d'une façon sèchement lubrique !

Il manquerait plus que ça qu'elle prenne le manche, elle dominait avec beaucoup de mecs au lit, mais pas avec lui, celui qui porte la ceinture ici n'est autre que se concentrait de machisme.
Il la plaqua alors doucement au mur tenant toujours fermant ses doigts dans ses mains.
Il effleura alors ses lèvres avant de reprendre sa route, c'était plus de la comédie qu'autre chose, il en avait sûrement autant envie qu'elle rien de tel pour vider ses pulsions agressives...

Il l'attendait, prenant son temps pour partir, elle avait intérêt a rappliquer et comprendre son jeu parce que sinon il pourrait bien faire quelque horreur malgré l'heure avancé...
La voilà, rien a redire, elle était vraiment forte, il faut dire que pour ce sport, elle était experte, il ne savait pas où elle avait appris toute ses cochonneries mais c'est avec joie qu'il les accueillait tous autant qu'ils étaient.

Hola, elle s'était tout de suite attaqué à un des endroits qu'il préférait, le lobe, mordillé parmi des des mots sensuel cela faisait un effet de tout les diables et son soldat quelque peu en manque, un jour ou deux, était tout autant nympho que cette belle demoiselle, faut dire c'est le cas pour la plupart des sexe masculins, ne croyez pas que c'est toujours le cerveau qui commande chez l'homme, n'écoutez pas ce qu'ils disent en vérité, ils sont totalement dominé par leur sexe, une fois qu'ils y ont goûter, ils deviennent accro comme la cigarette ou la drogue, les choses interdits étaient tellement incontrôlable...

-C'est inscrit dans mes gènes... la remarque voulait tout dire et le simple fait de soulever un point pareil ne voulait dire qu'une chose, tu veux jouer ? et bien tu vas le regretter ! j'espère que tu n'as rien prévu ce soir, des mots pareils ne sortirait jamais de la bouche brulante de Wil' mais qu'est-ce qu'il aurait aimé le dire...

Elle tripotait son nombril avec une passion indescriptible et s'amusait a faire des aller venu entre le nombril et l'entre-jambe sans jamais agripper réellement son engin, trop espiègle pour commencer tout de suite... Il se laissa caresser sans bronché, pourquoi dirai-t-il quelque chose...
Puis il repartis finalement sur le jeu du chat et de la souris, jouir avant même l'acte, ça s'était se sentir vivant, poser un interdit avant de le transcrire... rien n'était meilleur !
Il se retourna alors pour agripper les belles fesses de sa compagne surprise, elle frémit, rien de bien méchant , même plutôt tendre quand on connait l'état actuel de Smith. Puis il posa les paumes de sa main sur le hanche et la balança légèrement de tel sorte qu'elle vu sorti de l'étreinte, leur corps était maintenant à 10 cm l'un de l'autre...

-J'ai besoin de me calmer, autant vous le dire franchement ces mots qui pour un amateur pouvait dire, pas maintenant désolé, pour Sarah ne voulait dire qu'une chose, calme moi...

Sa main droite était remonté jusqu'à la chevelure de la belle où il glissa ses doigts avant de poser toute la largeur de sa main sur l'arrière de la tête de cette vipère endiablé, il rapprocha alors tout doucement la tête d'Isael de lui tout en dirigea sa propre tête vers le cou de cette déesse, il murmura alors en effleurant de nouveau la peau de la belle :

-Que fais-tu ce soir ??

[HJ c'est pour ça des fois j'aime pas trop être pressé et ne pas poster à la chaine après je fais des fautes bêtes et mon inspi' s'échappe...]

Sarah sentit un frémissement d'exaltation la parcourir toute entière. Will s'était arrêté au milieu du couloir, et apparemment ses dispositions venaient de passer de "occupé ailleurs" à "vaguement interessé". A elle de faire monter la pression jusqu'à "fermement décidé" !

- C'est inscrit dans mes gènes...

Un aveu, rien de moins, mais rien de plus. C'était tout Will, ça : laconique et lapidaire. Mais il semblait d'humeur joueuse et patiente - un Will pressé l'aurait poussée dans le premier placard pour la prendre contre le mur le plus proche. Agréable, mais pas aussi satisfaisant qu'une nuit toute entière passée à s'affronter sur le plan horizontal. Réprimant un sourire gourmand, Sarah se serra contre le dos de sa proie du soir, continuant ses petits jeux taquins du bout des ongles. Combien de temps allait-il se laisser faire avant de reprendre le contrôle de la situation ?

Une dizaine de secondes. Pas mal ! Il avait vraiment envie de faire durer les choses, apparemment... Il se retourna et elle sentit ses mains se poser sur ses fesses - whooops, ça c'était un frisson véritablement délicieux - avant de remonter se glisser sur ses hanches qui ne demandaient qu'à vibrer. Ses mains à elles se faufilèrent le long de la chemise du Gryffondor, faisant sauter un bouton après l'autre, remontant lentement jusqu'aux larges épaules musclées, laissant de la pointe de chacun de ses ongles une marque invisible sur la peau de Will. Pendant cette petite éternité, les yeux gris de Sarah ne dévièrent pas de ceux de Will, fermement ancrés, cherchant à deviner l'humeur du jeune homme.

-J'ai besoin de me calmer...

Il avait deviné son interrogation et lui fournissait la réponse. Dans sa langue, Sarah comprenait ça comme "Calme-moi". D'accord : il avait besoin d'elle, de son corps de femme, pour évacuer la tension nerveuse qui pesait sur lui. C'était tout à fait dans ses cordes : Sarah allait tenter d'occuper son esprit le plus longtemps possible pour qu'il oublie un peu ses emmerdes. Un défi, certes, mais à la hauteur de ses capacités.

La main droite de Will remonta le long de son dos et se perdit dans les mèches folles de la jeune Serpentard, avant de s'y agripper. Il rapprocha doucement la tête blonde de lui - elle était tellement plus petite ! - et se pencha pour approcher ses lèvres de la peau fine qui couvrait l'endroit sensible entre l'oreille et l'épaule de la belle. Pendant quelques secondes, Sarah sentit son souffle chaud sur son cou... et le ressort se tendit encore un peu plus. Elle laissa glisser ses mains, qui descendirent se faufiler sous la chemise ouverte, effleurant la peau du Gryffondor en de sensuels attouchements. Incapable de résister à l'appel du corps masculin, si près, si terriblement près d'elle, elle avança légèrement - juste assez pour sentir les lèvres de Will se poser sur son cou alors qu'il lui demandait ce qu'elle faisait de sa soirée.

Déstabilisée par la douceur de la caresse, tellement inhabituelle chez Will, elle renversa instinctivement la tête en arrière, exposant plus avant sa peau à des inquisitions plus poussées. Will reçut le message - hop, niveau "pourquoi pas ?" - et promena lentement ses lèvres vers l'épaule de la jeune Isael - lui arrachant quelques frissons irrépréssibles.

"Ce soir ? Ce soir, j'ai prévu de passer quelques heures avec toi..."

Elle se mordit la lèvre, retenant un gémissement de plaisir. COMMENT pouvait-il à ce point connaître ses points sensibles ? Et la soirée venait à peine de commencer... Elle sentit qu'il la faisait doucement reculer et se laissa guider, sentant soudain quelque chose de dur contre son dos - une porte ? Elle lança une de ses mains derrière elle, trouva une poignée, l'actionna, et sentit le Bad Boy en puissance la pousser doucement dans la pièce. La main de Will qui n'était pas accrochée dans ses mèches blondes tenta une manoeuvre d'approche plus poussée - et Sarah se laissa faire.

[HJ : Pas de précipitation. Je suis pas prête de refaire un RP comme celui-là, faute de candidats xD Alors, j'ai bien l'intention d'en profiter et de soigner mes posts ^^]

Sarah sentait que le contrôle que Will exerçait sur lui-même commençait à céder. Confusément, elle comprenait ce qu'il cherchait : une femme, pour perdre en elle un peu de son agressivité et de ses griefs, une femme avec ses formes douces et accueillantes, et même, pourquoi pas ? Un peu de tendresse ?

Il referma la porte de ce qui se révéla être une salle vide, et entreprit une exploration plus détaillée de son anatomie. Chaque toucher, chaque caresse éveillaient de nouveaux sens en Sarah. Chaque endroit où sa peau touchait la sienne se retrouvait marqué, comme au fer rouge, du sceau du désir qui l'embrasait toute entière. Sa chemise ne fut bientôt qu'un simple souvenir, tout comme celle de Will qu'elle fit rapidement glisser par terre, parcourant son torse et son dos de ses petites mains agiles. Elle sentit qu'il s'agaçait sur son débardeur - et fatalement, le tissu fin ne résista pas longtemps. Une fois le bustier séparé en deux parties, il devint immédiatement beaucoup plus facile à retirer et finit sa carrière en boule dans un coin de la salle, lancé d'une main experte.

Sarah continuait à reculer, guidée par son Bad Boy préféré, quand elle heurta ce qui devait être une table. Elle bascula instinctivement en arrière, se cambrant légèrement, retenue par Will dont les lèvres remontaient insidieusement vers les siennes. Lorsqu'elles se rencontrèrent, pour de bon cette fois et pas pour un simple effleurement, les mains de Sarah remontèrent s'accrocher au cou et à l'épaule de Will, comblant un peu plus l'espace qui les séparait. Sarah mit beaucoup d'elle dans ce baiser, tentant d'insuffler sa douceur et sa tendresse à l'âme torturée de son partenaire du soir, affrontant à elle seule toutes les ténèbres qui pouvaient hanter son coeur. Elle se fit langoureuse et sensuelle, déployant les atouts naturels de sa féminité.

Sarah pensa brièvement au jeune héritier auquel elle était fiancée depuis l'âge de trois ans. Un puceau émasculé et boutonneux d'une vingtaine d'années qu'elle épouserait pour sa fortune, car c'était le bon vouloir de son père... Un bouffon qui ne la toucherait jamais - qu'elle ne laisserait jamais la toucher - car elle sentait, elle savait, qu'il serait bien incapable de lui procurer ne serait-ce que le centième des sensations que Will éveillait en elle à cet instant précis... A cette pensée, elle sentit que l'étreinte du Gryffondor se faisait plus forte, mais plus douce - et elle se cambra de plus en plus jusqu'à ce que son dos soit fermement plaqué contre la table. Mon petit Will, il va falloir t'intéresser à d'autres parties de mon corps maintenant...

Comme s'il avait pu lire dans ses pensées, ses lèvres délaissèrent sa bouche et descendirent sur sa poitrine avec une lenteur exaspérante, traçant un sillon enflammé autour d'un sein, tandis que le ressort maudit se tendait de plus en plus. Sarah ne put retenir un gémissement de plaisir lorsque la bouche taquine de son amant descendit agacer son nombril, et elle se cambra un peu plus sur la table. Les dernières traces de self-control disparurent en fumée lorsque la langue agile de Will traça de petits cercles brûlants sur son abdomen.

Elle déglutit avec peine, rassemblant ses derniers vestiges de lucidité, et, agrippant les mèches sombres du Gryffondor, le fit remonter au dessus d'elle pour un baiser enflammé. Appuyé d'un bras sur la table, il avait posé l'autre main sur la hanche gauche de Sarah, tout près de sa jupe. Elle, tenaillée par une tension de plus en plus pressante, occupa les siennes à déboucler la ceinture de son pantalon - se débarassant de ses sandales à talons par la même occasion. Elle intensifia alors leur baiser, glissant les mains autour de son cou pour qu'il s'approche d'elle un peu plus, et remonta lentement une jambe le long de la sienne.

Sarah commençait à perdre pied devant le déluge de sensations qui menaçait de saturer son esprit. Elle était pourtant habituée au sexe, le pratiquait régulièrement comme d'autres pratiquaient la course à pied ou l'équitation - mais des sensations pareilles, c'étair rare, très rare. L'expérience de Will en la matière y était sans doute pour beaucoup - restait que la belle nymphomane n'avait que très rarement l'occasion de passer des nuits aussi mouvementées. En général, c'était elle qui gardait le contrôle de la situation, préférant mener la danse. Là, c'était différent : elle savait pouvoir faire confiance à Will pour l'amener exactement là où elle voulait aller, même par des chemins détournés. Et puis, aurait-elle voulu garder le contrôle qu'elle n'aurait pas pu : les vagues de plaisir de plus en plus intenses qui la submergaient emmenaient avec elles ses dernières forces de volonté.

Sarah aimait comparer le sexe à de la musique, assimilant le corps de la femme à l'instrument et celui de l'homme au musicien. Sarah était peut-être une fille facile, Will un bad boy violent, mais ensemble c'était une véritable symphonie qu'ils jouaient, et Sarah espérait procurer à son partenaire autant de plaisir qu'il lui en donnait. Oui, ces moments étaient rares - elle était d'autant plus déterminée à les prolonger autant que possible.

Son souffle se faisait de plus en plus court. L'exaltation commençait à l'envahir et elle dut lutter pour demeurer maîtresse d'elle même - juste quelques instants de plus... Profitant des derniers moments de contrôle d'elle qu'il lui restait, elle en profita pour envoyer les derniers vêtements de Will rejoindre les siens quelque part par terre. Le seul habit que portait encore Sarah, c'était sa jupe, et Will en aurait sans doute pour quelques minutes avant de réussir à défaire les lacets qui la fermaient. Elle remonta donc lentement vers le visage de son amant, happa le lobe de son oreille droite et le mordilla malicieusement, avant de murmuer quelques mots au creux de son oreille, jouant négligeamment des ongles sur son torse.

La tension monta encore d'un cran et elle sentit l'effet qu'elle produisait sur lui. Satisafaite, elle promena ses lèvres sur son cou, humant avidement son odeur d'homme. Elle pouvait sentir son coeur battre à grands coups, les frémissement de sa jugulaire sous ses lèvres indiquant combien le sang courait vite dans ses veines. Puis ce fut au tour du coeur de Sarah d'accélérer : sous les mains expertes de Will, les lacets de la jupe venaient de céder, et la jeune femme se retrouva nue comme la main, caressée toute entière par la lumière de la lune comme par les mains vigoureuses du hardi Gryffondor. L'une de ces mains vint caresser son épaule, tandis que l'autre s'aventurait soudain au creux de ses reins.

La décharge de plaisir qui en résulta fit apparaître des petits points de lumière devant les yeux de Sarah et elle se cabra violemment, rejetant la tête en arrière et approchant son corps plus près de celui de Will, qui étouffa son long gémissement sous un baiser dominateur. Elle réalisa subitement qu'elle n'avait pas pensé à insonoriser la salle, puis décida qu'elle s'en fichait lorsque la main de Will qui n'était pas agrippée dans ses cheveux remua légèrement en elle, envoyant mille sensations décuplées à son cerveau qui décida de plier boutique.

Folle de désir, elle s'agrippa des deux mains aux larges épaules, enfonçant ses ongles dans la peau recouverte d'une fine pellicule de sueur, et tapa des talons, tentant d'évacuer sa frustration autrement qu'en hurlant comme une possédée. Elle sentit que Will prenait un malin plaisir à s'attarder, augmentant d'autant sa frustration. Il libéra soudain sa main, agrippa ses bras et les plaqua sur la table, l'immobilisant complètement sous lui. Frémissante, elle essaya de se libérer, se débattit quelques instants - avant de se figer complètement sous un autre baiser. Un baiser violent, possesseur, Will lui imposait sa loi - mais elle était toute prête à la subir et lui rendit son baiser avec la même violence, tentant désespérement de l'attirer en elle, se cabrant entièrement sous l'effet du feu dévastateur qui embrasait ses reins. Elle réussit à libérer ses bras, les noua autour du torse de son amant, se collant à lui, savourant la façon dont il avait posé sa main dans son dos, la maintenant contre lui, littéralement suspendue à son cou, pendant que leur baiser se prolongeait.

Elle en voulait encore, elle en voulait plus - elle voulait sentir ses mains sur elle, chaque parcelle de sa peau contre la sienne, et son corps au plus profond d'elle.

Et il le savait parfaitement, jouant de son impatience comme un véritable virtuose.

[HJ: désolé mais je vais revenir à mon ancien style, le poème m'énerve...]

Gentils fifille, elle essayait de lui résister… aussi naïf que la première fois, comme s’il ell n’avait pas encore connu la bête, cette chose brute où coule le plus profond des hommes, il l’avait dans son sang, cette souffrance, cette égoïsme, cette haine… il le vivait, le subissait à chaque minute. La belle ne pouvait pas comprendre, la belle était encore innocente, fin mise à part les crasses qu’elle pouvait faire bien entendu- elle croyait pouvoir discuter, débattre avec un monstre, elle croyait au bien, elle rêve…

Une victime, voilà ce qu’était dorénavant Sarah, la victime d’un bourreau, Wil’ le sadique, une symphonie ? quel connerie…
Lentement mais sûrement il l’a torturé, plus elle resterait, plus il continuerait, plus méchant qu’une violeur, plus sadique qu’un éventreur, il la travaillait au corps, plus elle crierait plus il banderait, rien n’était plus bon… Tout outils était utile, chaque touché était une nouvelle expérience. Il était artiste sur cette place publique, on le regardait lorsqu’il offrait ses scènes secrètes, les tableaux regardaient tous aussi voyeur, tous aussi émerveillé, il devenait tout puissant et sa victime le plaisir de tous, celui de la catharsis…

Oh elle lui résistait, quel plaisir ! elle ne voulait pas gémir, elle se retenait, le titillement ne suffisait pas, il devait être plus radicale, il l’a pinça tout en frottant doucement son pubice, ce bout de chair inutile au besoin vital de la femme et pourtant si nécessaire… Elle s’arc-bouta, ne voulant céder, se mordant la lèvre, frémissant d’un plaisir fou, d’une frustration sans limite, il s’éclatait, avec patience, il la pénétra de son doigt, le plus cultivé. Après l’index, se fut le tour du majeur, elle céda, gémissant, hurlant, elle avait parler, la torture était bonne, il pouvait continuer, il fallait qu’elle avoue tout !

Dans la sueur et la lutte, elle se rapprocha, voulant connaître l’identité de son bourreau, faiseur de ce mal, il était là, tout prés. Il se cala alors sur elle alors qu’elle se faisait les ongles, elle ne s’avouer pas vaincu, tant mieux le bourreau n’était qu’au début de son œuvre…
La folie l’anima comme une oracle contrôlé par les dieux, déchirant les cieux de la salle. Il l’embrassa pour la faire taire, la pièce n’était pas insonorisé mais les spectateur était déjà là, il était temps de tiré complet…

-Accio baguette, murmura Wil’ tendit que Sarah inconsciente de la scène se débattit d’abord avec vigueur et passion avant de faiblir peu à peu sous l’emprise de son conquérant qui usé magistralement de son poids pour la contenir, il murmura alors un sort d’amplification sonore avant de rendre indétectable la salle, si Wil’ savait bien faire une chose en-dehors de fumer, baiser, se battre ou fuir, c’était de dévorer les bouquins de sort avant de s’appliquer.
Il pourrait peut être se servir de sa baguette pensa-t-il avant d’oublier, inutile elle était déjà prête, elle resterait propre…

Le bourreau avait donc officiellement déclarer la mise en scène publique après quelque préparation, ce n’était pas seulement les tableaux et les quelques fantômes qui l’entendrait mais bien le château entier, sans les trouver, sa victime allait agoniser…
Il l’a senti alors en réclamer encore et encore, toujours plus… il l’embrassa de nouveau gobant sa langue, mordant sa lèvre inférieur puis retira son doigt, il était temps !

[HJ douce poésie, j'aime te créer pour mieux t'écouter, les spéctateurs aiment ?? *je choque ? nan c'est juste du NC17]

[HJ c'est pas faux, tu es vraiment ma source de lumière dans se monde de ténèbres...]

Le fracas fut brutal et dérangea quelque peu le mâle en action, il l’avait tellement bien calé sur cette table qu’elle avait fini par l’épouser totalement entre deux torsions de plaisir. Elle aboyait, cette nympho et son large public ne l’a dérangeait aucunement. Sa victime était vraiment la pire des nymphomane, demandeuse de sexe enragée qui voulait à tout prix sa portée, certain aimé l’alcool, d’autres les sodas voir même de l’eau après un bon petit marathon mais elle, c’était un liquide tout autre qui lui fallait, chaud et visqueux, et elle travaillait dure pour ça, l’expression va te faire foutre était fait pour des femmes comme elles. Cette bimbo née dans une cage dorée, se croyant faite pour la liberté, s’échappant des que les barreaux n’étaient plus, devenait soudainement demandeuse de tout les plaisirs de la vie, elle croyait pouvoir vivre ainsi… Foutaise, Wil’ le savait bien, cette liberté que cette bimbo avait si souvent rêvé, il l’avait soufferte toute sa vie, il n’était pas plus libre qu’une autre, la cage semblait seulement plus grande et mieux maquillé mais c’était du pareil au même, si ce n’est qu’il n’y avait ni beauté ni amour, seulement une cruauté de fer avec pour seul soulagement la mort…

Elle faisait la catin et pensait pouvoir vivre ? Si c’est ce qu’elle souhaite, Wil’ allait lui montrer qu’un gamin des cités pouvait la faire transpirer mais elle n’échapperait pas pour autant a sa destiné tout comme lui, il n’y aura eu qu’échange de fluide, rien de plus…

En tombant, Wil’ s’était renversé pour que la belle souffre moins, son poids plus la hauteur aurait pu faire mal, il était mieux bâtit qu’elle et pas des moindres, injustice de mère nature et caprice des dieux, toutes les femmes étaient d’accord sur ce point mais après tout, dans tout cycle, il fallait un dominateur et un dominé… Elle lui tomba donc dessus croyant sûrement qu’elle avait inversé la tendance. C’était mal connaître Wil’ se Lucifer du sexe n’offrait rien gratuitement… tout se payait.

Il la renversa alors aussi rapidement qu’il était tombé, la laissa se battre encore un peu, comme une mouche prit dans le filet de la faucheuse. Un sourire diabolique se traça alors sur son visage, son clitoris était bien trop appétissant et cela faisait longtemps qu’il n’y avait pas goûté, son goût n’était qu’un vague souvenir, ce soupçon d’amande salé bien molle. Peut être le goût avait changé ! Peut être qu’a force d’être visité, elle avait perdu son goût d’avant pour un plus usé, plus sec comme les rochés d’une falaise trop chatouillés par la vague marine. Il n’y avait qu’un seul moyen de le savoir…

Toujours aussi frétillante et amplis de saveur bien locale d’Angleterre, cette sang-pur avait su entretenir sa fraîcheur aussi bien que son maillot des plus discret… La langue agile, il la senti se compulser, le plaisir était trop fort et cela frisait la douleur, il l’imaginait déjà tordu de douleur par se feu qui l’a brûlait jusqu’au fin fond des entrailles, il en était raide, sans avoir été touché une seul fois le fourmillement incessant de son pénis lui fournissait un plaisir fou mais s’il ne se soulageait pas vite bientôt son feu le consommerai lui aussi.

Il était remonté, elle avait beuglé, il imaginait déjà tous les mâles ne sachant comment se soulager devant de tels orgasmes, il ne pouvaient que s’astiquer impuissant qu’ils étaient, il traça alors un chemin sur le corps généreux de sa douce victime, elle ne se débattait plus, elle se remettait de ses émotions, il mordilla alors ses dards un peu plus brutalement que les autres fois, il avait du lui faire mal, mais après temps de plaisir, il fallait bien une justice.
Elle s’était alors redressé prenant sa tête à deux mains cherchant sa bouche à travers sa courte chevelure, elle avait déjà perdu la plupart de ses sens complètement engourdit par son plaisir, désorienté, seul et fragile. Il l’embrassa avec toujours l’arrière goût de son clito allait-elle aimer ?
Etre dans un pareil état juste avant la fin des préliminaires était une grande satisfaction pour Smith qui entendait ses bourses brûler de l’intérieure, elle devait être soulager, elle ne pouvait plus tenir et lui non plus. Il ramassa alors sa compagne encore brûlante et la plaqua contre un mur relevant une de ses jambes, elle était souple la coquine, elle était vraiment taillé pour ça.

Le bourreau ne laissait pas de répit à sa belle, elle faisait ça tout les soirs mais avait toujours dû mal à tenir le rythme dans ses nuits folles avec le diable des Griffondor…
Il s’enfonça alors en elle aussi franchement qu’il cognerait dans sa batte, elle était bien assez mouillé et il fut aspiré jusqu’au bout. Encore une particularité de Sarah, entre l’orifice et le col, il n’y avait pas seulement 8 cm… et il soupira bruyamment comme soulagé par un fardeau, le plaisir était immense et ses chères confrères de sexe allaient enfin savoir ce qu'était un orgasme !

[HJ y a encore des courageux xD qui ont fait aucune pause ?? pas mal...]

[HJ record de long poste battu... vive la chaine qu'on a fait aucun n'est en-dessous de 45 lignes...]

Que les joies du plaisir soient, et elles furent. Difficile sont les mots pour décrire de tels actes, nombres d’auteurs passeraient ses événements sous silence tout en distribuant deux trois mots érotique par-ci par-la. Une manière bien malicieuse d’expliquer un acte aussi sensuel, la poésie est de mise, un bite devenait trompette tandis qu’un vagin devenait piano, il suffit d’enfoncer les touches pour qu’une mélodie sortent, il suffit de jouer et de surtout savoir jouer pour qu’une mélodie devienne symphonie…
Mais la vérité est tout autre, on vous cache des choses, on vous fait croire que seul l’homme sait le faire, la brutalité de l'acte est alors camouflé, masqué par l’homme, ce chien forçant la main des saintes vierges, elles n’étaient que soumises, seulement innocentes, la femme ne sait, la femme ne peut...
La vérité, c’est que la femme est bien plus brutale et qui faut savoir reconnaître une salope lorsqu’on la voit, Sarah en était une, les épaules lacérés de Wilbur en était une preuve, cette sauvageonne, sous prétexte d’évacuer son plaisir lui scalpé la peau… Elle ne l’emporterait pas au paradis, elle voulait de la brutalité, cette chienne, elle en aurait…

Wil’ accéléra encore le rythme lorsque cette nympho bougea pour l’aspirer, le rapprocher, il avait poussé un juron, il en était fier. Le rythme était effréné sans arrêt ni pause, Sarah totalement plaquer contre le mur par le mouvement hypnotique de la bête, hurlait son plaisir. Et lui, il extériorisait son désir d’en avoir plus, en jurant, meuglant, comme un taureau pas encore satisfait au bout de la 7ème vache du troupeau… Il sentait les fesses de Sarah raflait contre le marbre, elle avait de la chance, elle n’aura que de simple rougeur, si le marbre avait été brique, elle aurait eu du mal à s’asseoir pendant quelque temps et peut être même que ses pulsions se serait calmer, sans vraiment trop espérer.

Il était devenu aventurier plus que bourreau maintenant qui était en elle, il se rendit compte qu’elle était large cette cochonne autant qu’un boulevard, il y en avait des boutiques à visité, on aurait même pu s’y risquer à deux… Il était totalement entrée, elle ne lui avait rien laissé pour un peu ses couilles auraient presque pu venir, elles commençaient à le démanger d’ailleurs, bientôt son cerveau n’aura plus aucun contrôle, cela avait bien trop durée, il n’était pas illimité et son instinct de survie prendrait le dessus, livrant la semence que toute femmes attendaient avec impatience, se régalant de se liquide chaud et gluant, blanc translucide comme du lait entier encore caïeux et fort en arôme…

Puis quelque chose de bizarre se produisit, un truc jamais vu, malgré la longue expérience de Wil’ que la gente féminine pouvait confirmer aisément. La peau de la Serpentard devint brillante puis soudain son bas-ventre se contracta, inutile de préciser que la « trompette » de Wil’ subit le même sort, ce n’était pas du plaisir mais de la douleur qu’il ressentit, un pincement des plus effroyable...

-Bordel de merde

Fut son ticket d’évacuation, pourquoi le « Piano » de cette vipère était-il devenu aussi violent. Il avait eu l’impression de lui avoir fait plus de bien que de mal jusqu'à maintenant. Alors bordel pourquoi cette chatte était-elle si hargneuse ! Il n’eut pas le temps de répondre, une onde de lumière sortit alors de Sarah en même temps que l’orifice lâcha prise, quel soulagement. Le soulagement devint soudainement une vague de plaisir et cette vague, un raz-de-marée, il n’avait jamais ressenti un pareil égal, il venait d’être pénétrer à son tour, comme dépucelé... Et un orgasme était rapidement arrivait jusqu'à son cerveau, cerveau qui s’arrêta net, reset, ce nouveau programme n’était pas transmissible, Il venait de l’évacuer en un cri rauque, quelque chose de puissant comme le hurlement d’un ours, féroce et pas content…
Le plaisir ne le quitta pas, il ne comprenait rien, il était tombé au sol, il n’en était pas sur... Une surface froide l’avait simplement percuté, lui coupant le souffle. Il ne bougea plus, il n’en pouvait plus, ce machin n’était pas du plaisir mais autre chose, c’est comme si une flamme de tous les diables s’était allumer en lui, un feu noir que rien ne pouvait étendre, sans aucun contrôle sur rien, il banda comme un cheval, perçant le col de la belle, l’instinct avait plié bagage, c’était contre nature de ressentir ce plaisir, un orgasme pour un homme ? si les pd ressentaient la même chose à chaque fois, il était compréhensible que Peter Salmen est changé précipitamment de bord…

Le cerveau tentait de reprendre ses marques mais le plaisir était trop intense, un orgasme ravageur.
Et il sentit la belle ondulait sur lui comme une douce vague marine, elle était sur lui, en amazone, les rôles étaient inversés, il ne travaillait plus, elle s’était libéré, elle pouvait maintenant contrôler pendant que lui ne donnait que le poteau sur lequel danser…

[HJ : Bah dis donc, t'étais inspiré ]

Sarah entendit le cri rauque de Will, comme le feulement sauvage d'un animal, faire écho au jaillissement de plaisir qui l'avait inondée toute entière. Son esprit, du coin reculé où il s'était retiré, en tira quelque satisafction. Tiens, à ton tour, mon grand ! Ce n'était qu'un juste retour des choses. Certes, le Gryffondor hargneux était diabolique, mais elle pouvait l'être tout autant. Après tout, elle était très loin de son premier coup, et avait acquis quelque savoir en la matière - savoir auquel elle ne recourait cependant que dans des cas exceptionnels. Sarah délibéra avec elle-même et accorda la première place de son classement à Will. Après tout, il le méritait bien... et elle allait avoir tout le temps de se venger.

Elle sentit alors que Will perdait son légendaire contrôle. Ils tombèrent au sol, assez violemment - elle aurait des bleus sympathiques le lendemain - mais toujours enlacés. Son amant avait l'air un peu groggy après l'orgasme ravageur qui venait de lui tomber dessus. Tant mieux - elle se faisait fort de lui rendre très rapidement toute sa lucidité. Et elle était certaine de pouvoir faire monter encore un peu plus la pression du pauvre garçon... Les rôles s'étaient subitement inversés : pour un court laps de temps, c'était Sarah qui aurait le contrôle, et elle comptait bien lui rendre un peu de la frustration brûlante qu'il l'avait forcée à subir - avant de la combler magnifiquement, il fallait bien le reconnaître.

Elle ondula du bassin quelques instants, juste le temps de faire remonter Will à un stade de lucidité plus avancé, puis se dégagea d'un coup, séparant leurs deux corps en feu. Elle se délecta intérieurement de l'air choqué - oui, parfaitement, choqué ! - du bad boy en puissance, et se pencha malicieusement en avant, étouffant ses protestations sous un baiser des plus langoureux. Une fois que sa langue eût visisté les moindres recoins de la bouche adverse (qui avait un petit arrière-goût de tabac pas si dégagréable), elle fit glisser sa bouche sur le côté, allant taquiner de plus près la zone de peau plus sensible qui se trouvait entre l'épaule et l'oreille - en mordillant délicatement le lobe au passage. Ce faisant, elle arqua le dos, laissant ses seins généreux frôler le torse de Will - elle savait parfaitement qu'il ne savait pas résister à ce genre de provocation, c'était l'un de ses points faibles...

Gagné - il se raidit encore plus, et elle, laissant libre à sa perversité, revint s'agenouiller au-dessus de lui, ne laissant que l'infime extrémité de sa verge en parfaite érection frôler sa fente intime. Elle se pencha lentement en avant, savourant sa tension extrême et le petit sentiment de revanche bien méritée qui l'accompagnait, et lécha langoureusement la commissure de ses lèvres si masculines, les mordillant malicieusement au passage. Elle se redressa, sentant que sa phase de contrôle touchait à son terme, et oscilla lentement d'avant en arrière, caressant diaboliquement son sexe du sien, sans le laisser la pénétrer à nouveau.

Il avait l'air furieux - quoi de plus étonnant après sa délicate torture personnelle, toute droit sortie des méandres de la rouerie féminine ? Oeil pour oeil, dent pour dent, et encore, ne te plains pas, mon mignon : j'en ai bavé bien plus que toi, ce soir... pensa-t-elle alors qu'elle sentait les mains de Will se poser sur ses hanches et les étreindre fermement. Satisfaite, elle lui rendit alors le contrôle et se laissa faire - un coup de reins, et il l'empalerait sur lui, de nouveau victime et subissant ses menées.

[HJ : Désolée pour le retard, j'ai été pas mal occupée ce week-end !!]

[Hj : un manque d'inspi' flagrant mais que veux-tu ! je n'y peux rien xD]

Lorsque le capitaine est blessé, la mutinerie n’est jamais loin… La serpentine était tous sauf un ange, elle était diablement tordu et savait parfaitement se servir d’une situation pareil… Elle ondula, lui faisant un plaisir fou accompagné d’une frustration sans la limite, comment pouvait-elle oser ? Une simple femme… elle se révoltait contre son seigneur, elle en profitait avec gourmandise et Wil’ n’était pas assez remit pour remettre de l’ordre dans ces ébats corporels.. Mais cela ne tienne, il était rancunier, et elle payerait le prix fort… elle le savait !

Elle s’était brutalement retirer laissant le sexe de son homme en feu. Il protesta, mécontente de prendre le contrôle, elle le taquinait maintenant cependant ses plaintes s’étouffèrent dans la merveilleuse bouche de Sarah, si une chose était sur, c’est qu’elle embrassait comme une déesse, la longue expérience très certainement. Il n’avait jamais eu de pareilles sensations, de pareil élan avec un simple baiser, il voulait l’écraser contre sa poitrine, la blottir contre lui dans une étreinte éternelle, immuable. Elle entendit sa prière et se rapprocha, frottant ses fruits bien mur sur sa poitrine, elle était coquine et plus que belle…

Elle était très belle, Wil’ s’en rendit compte en même temps que sa rage monté, cette peau sans imperfection, cette blancheur si parfaite, un corps de douceur pour une nymphe des enfers. Cette diablesse le torturait maintenant se servant posant son sexe contre le sien, sans même le laisser pénétrer, elle bougea maintenant comme une limace sur une route, lentement, il voulait tellement rentrer, il la désirait tellement qu’il en perdit la raison. Ce parfum, cette bouche, cette fraîcheur, il l’a voulait entière, il ne la connaissait pas encore mais bientôt chaque centimètre d’elle sera sa propriété. Elle en avait trop fait, elle s’était même amusé avec son anus, cette endroit sale et répugnant pourtant si sensible, son oncle l’avait parcouru comme une chatouille des plus efficace. Elle était allée trop loin, rien ni personne ne l’empêcherait, même cette vague de magie deviendrait ombre et poussière face à sa bestialité, il allait la faire hurler, demain elle n’aura plus de voix, ses cordes auront trop frotté sa gorge engourdit…

Il posa alors ses mains sur les hanches de la belle, la bête était prête, plus méchante que jamais, il irait au plus profond de son jardin, savourant les mets que nul n’avait goûté dans se lieu plus foulé que la gare de Londres…
D’un mouvement brutal il rabaissa le bassin de Sarah pendant que ses hanches à lui faisaient un mouvement contraire, il la fourra avec une brutalité inouï, il avait senti le fond bien avant l’arrêt de son mouvement, le hurlement était entre la détresse, la douleur et le plaisir pour la serpentine qui connaissait maintenant le courroux de Wil’… Même les tableaux présents émirent un gémissement de surprise et d’horreur, la fresque peinte était belle à voir.

Il continua tout en la retourna contre le sol, chaque partie de son corps était collé à elle, seul son bassin se décollait régulièrement pour venir le frapper de plus belle, elle criait son plaisir mais aussi son malheur, le brakmarre du lion était gonflé à bloc et n’était pas prêt de défaillir.
Il l’embrassa, un baisé aussi sauvage que son attitude dominateur, elle lui appartenait et jamais il ne l’abandonnerait, cette nuit était la sienne pour l’éternité et elle devait s’en souvenir…

La prédiction de Sarah se concrétisa et Will reprit les choses en main - au sens propre comme au sens figuré. Ses mains agrippées à ses hanches la plantèrent sur lui avec une brutalite inouie - et un déluge de sensations contradictoires inonda les terminaisons nerveuses de la belle. De la douleur, oui : ça faisait mal, mais c'était bon, tellement bon de sentir quelque chose, même une telle douleur - c'était bon, parce qu'elle savait en ces instants qu'elle était autre chose qu'une coquille vide. Cela dit, la vague de plaisir qui allait avec, résultant de la pénétration presque bestiale qui avait précédé, étant tout aussi intense et jouissive. Seigneur, sa tête allait finir pas exploser si ça continuait comme ça - mais dans le même temps, elle en voulait plus, encore plus, toujours... ne pas retomber sur la terre ferme, ne pas cesser de ressentir, aller toujours plus loin, toujours plus fort...

Les portraits murmuraient entre eux des paroles qu'elle ne pouvait saisir. Ils étaient choqués - trop peu habitués à une telle violence, voire à une telle passion ? Chez Sarah, l'un n'allait pas sans l'autre. Oui, elle était passionnée, et sauvage dans sa passion, se donnant toute entière, hommage vibrant aux Dieux des plaisirs charnels. Et les figures peintes sur les murs regardaient de tous les yeux, abasourdis par l'alchimie parfaite de ces deux corps en harmonie qui touchaient du doigts l'accomplissement du désir suprême.

Sarah sentit alors Will rouler sur elle et son dos en sueur se retrouva en contact avec le sol parsemé de débris divers. Ce qui devait être un morceau de bois pointu entailla son épaule droite, et elle gémit de douleur et de plaisir mêlés. Elle semblait avoir éveillé en lui une vigueur nouvelle, et il s'employait à lui faire la preuve de ses capacités avec une touchante application. Avec une telle application qu'à chaque nouveau coup de reins, elle glissait en arrière sur le sol de quelques centimètres, littéralement secouée par les sensations grisantes qui lui tournaient la tête. Le contact de sa peau sur la sienne était enivrant, et elle se colla encore plus à lui, agrippant ses mains autour de ses épaules, soulevant légèrement son buste du sol, écrasant ses seins contre son torse puissant, posant sa bouche aux lèvres gonflées sur la sienne. Quelle sauvagerie aussi dans ce baiser...

Elle fit glisser ses lèvres le long de son cou, sentit qu'il posait les siennes sur son épaule blessée et léchait avidement sa plaie - quelle sorte de vampire était-ce là ? Le goût du sang sembla le déchaîner encore plus, et les râles rauques de Sarah montèrent d'un cran alors qu'elle sentait qu'il augmentait la cadence. Langoureuse et sensuelle, elle remonta lentement une jambe le long de son corps, sentit qu'il y faisait glisser sa main, titillant de ses doigts agiles la zone sensible à l'arrière de son genou, avant de remonter le long de sa cuisse et de passer dans son dos, remontant insidieusement vers sa nuque. Il saisit ses cheveux d'une main, lui inclinant la tête sur le côté, et explora avec sa langue toute la zone ainsi découverte. Sarah frémit de plus belle - comment une langue pouvait-elle être aussi... érotique ?

Alors qu'il lâchait prise, elle colla sa tête contre son cou, humant l'arôme particulier et un peu aigre de sa peau en sueur - et, folle de passion, mordit son épaule. Fort. Il poussa un feulement rauque - colère ou plaisir ? - et de ses deux mains, il lui cloua alors à nouveau les bras au sol, la forçant à plaquer le dos par terre, soumise à son bon vouloir. Et c'était tellement pire que la première fois, parce que ses coups de reins ne faiblissaient pas, et que son bas-ventre la brûlait comme si on l'avait frottée avec des orties - et Seigneur, que c'était bon...

Le bourreau était de retour, toujours aussi vif, toujours aussi tactile. Il s’était absenté un moment, l’histoire d’une pause déjeuné, laissant place au preux chevalier, aventurier et galant homme… Il était redevenu le monstre, l’ignoble bête violente et au combien pervers.

Il savait que par la douleur, cette fille connaîtrait l’extase et c’était avec plaisir que le bourreau lui offrait Il l’avait plaqué au sol, la ramonant avec sauvagerie au grand damne des spectateurs ne comprenant pas le vrai sens du plaisir. Il avait lui offrir, elle n’était pas encore satisfaite, son cri n’était pas assez fort, ses larmes ne coulaient pas encore, sa peau était encore trop blanche. Notre légionnaire se faisait un malin plaisir à la bloquer contre terre tandis que ces violents mouvements de rein la pilonner avec un bruit visqueux et huilé les plus excitant.

C’est alors qu’il remarqua que le sol était garni de multiple débris, il était trop tard, elle venait de s’entailler l’épaule, laissant une plaie béante saigner. Et c’est avec douceur qu’il porta sa bouche à cet endroit, il voulait tout d’elle, même son sang. Il l’apaisa, suçant sa plaie avec délicatesse, pendant que son bas-ventre fonctionnait tout seul, automatisé. Le goût métallique du sang modifia ses sens, comme un requin excité, sa brutalité se multiplia, ce n’était déjà pas drôle à voir avant mais désormais, les amateurs de hardcore était servie. Ce tourbillon de plaisir n’en finissait pas, ses cris, cette sueur, ces odeurs, se feu qui allumait Wil’ comme un feu de forêt puissant et sans fin, il ne serait jamais satisfait, même bien après l’acte, il n’aura rien acquis, errant comme une âme en peine dans ce monde qui n’était le sien.

Sa proie se débattit de nouveau, imposant une position, elle avait relevée délicatement sa jambe, elle voulait sûrement qu’il lui masse ses zones sensibles, il exécuta alors son bon vouloir, décidant d’être clément, elle était à sa merci que pouvait-elle faire ? C’est alors qui fut mordu, un râle de plaisir s’échappa, pour une fois qu’elle était plus ardente que sensuelle, il fallait le fêter par une nouvelle torture… C’est tendance sado-masochisme était de retour, il la plaqua au sol, se retira d’elle, elle alors qu’elle était un plein concert. Il l’embrassa comme pour achever toute protestation, il se mit alors à masser son clitoris, il n’en avait pas fini avec elle, elle serait torturée jusqu'à la dernière minute, il était maintenant décalé sur le côté, lui mordillant les seins avec une certaine rudesse, pendant se temps, ses doigts s’agitaient, eux aussi était indépendant, il en était au troisième et elle gémissait de plaisir mais ça n’était pas assez fort, pas assez intense, il opta alors pour un ajout, il y en avait maintenant quatre et il sentait encore de la place, ses doigts s’agitaient comme des pianistes dans les profondeurs de sa fente intime, il le murmura alors à l’oreille entre deux morsure :

-Tu ne cris pas encore assez fort ! Un coup de pouce ? une tirade teintait d’ironie qui en disait long sur sa futur action.

Il n’entendit pas de réponse seulement un gémissement de plaisir qui avait irisé tout le poil de la belle. Jugeant la réponse comme positif, la main entière rentra, elle avait eu du mal, mais c’était assez élastique et le gémissement devint hurlement. Pendant qu’il embrassait le beau visage de Sarah, il cru percevoir un goût plus salé que de la sueur, elle avait versé des larmes –douleur ou plaisir ?- il n’en savait rien, il savait simplement que lui prenait son pied…

Le bruit d’une ventouse résonna au moment où le batteur retira sa main, il retourna alors la serpentine, il avait maintenant son dos en vue et sans plus attendre, il l’a pris en levrette, fourrant son sexe dans le clitoris de cette vipère qui se cambra violemment… il venait d’agripper sa chevelure, il lui fallait plus de prise, puis ses mains se posèrent sur les épaules de la belle et alors la bête commença le mouvement le plus ancien du monde, sur le rythme que chaque homme, chaque femme avait su trouver le moment venu. Ses mains avaient glissé sur les seins généreux et parfait de la belle Sarah qui avait été gâté par la nature, elle était injuste avec beaucoup de monde mais Sarah elle avait su se faire valoir au moment de la grande selection.