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 Rabastan Lestrange - Et PAF, ça fait des Chocapics™ !

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Rabastan Lestrange
Petit Moldu, petit moldu, tu t'es perdu ?

Rabastan Lestrange


Féminin Nombre de messages : 41
Date d'inscription : 21/04/2009

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MessageSujet: Rabastan Lestrange - Et PAF, ça fait des Chocapics™ !   Rabastan Lestrange - Et PAF, ça fait des Chocapics™ ! Icon_minitimeVen 9 Avr - 18:08


      Rabastan Lestrange - Et PAF, ça fait des Chocapics™ ! Img-165341t7w09
      © Copyright

        Rabastan Phoebus
        Lestrange

        Ft Josh Hartnett


      I. Identity card.


    •• Nom, prénom(s) : Lestrange, Rabastan Phoebus.

    •• Âge & date de naissance (nous sommes en 1976) : 21 Juin 1960, 16 ans.

    •• Année d'étude/métier : 6ème année.

    •• Lieu de naissance : Dublin, Irlande du Sud.

    •• Lieu de résidence : Quelque part en Angleterre.

    •• Ascendance (Né-moldu, sang-mêlé, sang pur) : Sang pur, ça paraît évident.


      II. What else ?


    •• Caractère (150 mots ) :Je suis un chieur, un fauteur de troubles, un névropathe qui emmerde le monde pour le plaisir d'emmerder le monde. J'ignore tout aussi bien le mot respect que le mot autorité, en passant par les termes de partage, de politesse, de tolérance et autres conformités inventées par l'homme et sa foutue bienséance. Je comprends ce que j'ai envie de comprendre, j'apprends ce que j'ai envie d'apprendre ; cela ne va pas plus loin et personne ne s'en plaint. Têtu ? Un peu, oui. Disons que je n'aime pas recevoir d'ordres ; à vrai dire, je préfère les donner. On me respecte et je le sais, c'est bien pour cela qu'il n'est donné qu'à très peu d'individus du type humain d'avoir une once de contrôle sur ma personne, comme mon père ou encore mon imbécile de frère, ce cher Rodolphus. J'ai beau le mépriser autant que je méprise le reste du monde, je ne peux pas m'empêcher de faire ce qu'il me dit et d'obéir sans ronchonner : peut-être parce qu'il m'aide à son tour lorsque j'en ai besoin, ou simplement parce qu'il est mon aîné et que dans ma famille, c'est celui auquel je m'identifie le plus. On me dit aussi que je suis vulgaire, effronté, mal élevé ; mais, la plupart du temps, on évite de trop critiquer mon éducation, certainement parce que mes parents, d'influents personnages du ministère, n'apprécient pas tellement qu'on les blâme, ou juste parce que j'use de mes poings à la moindre contrariété. Bah, comme dit Amycus, si les mots ont du mal à circuler, les coups, eux, sont fiables à 100%, à moins bien sûr de tomber sur un moldu. Ils sont si stupides ... Hmm, en effet, j'éprouve comme la plupart des Sang Pur une certaine répulsion à l'égard de cette sous-espèce humaine : je ne comprends pas comment il est possible d'autoriser ces créatures à partager le même monde que nous. Sans pouvoirs ... Des hommes des cavernes, en quelque sorte. C'est pour cela que, finalement, je me demande si c'est une bonne idée de manifester à leur égard une si profonde aversion : après tout, ils me font plus pitié qu'autre chose. À mon sujet, on dit aussi que j'ai la méchanceté facile et le parler trop franc, que je blesse tout en m'en rendant compte mais que cela m'importe peu. Rien de faux, en fait. Je tiens tout de même à préciser que cette méchanceté dont il est question n'a rien de gratuite ; je ne fais qu'anticiper celle avec laquelle on pourrait éventuellement me traiter, c'est totalement différent ! C'est comme dans une bagarre : si vous attendez que l'on vous donne le premier coup, il faudra sacrément batailler pour reprendre le dessus. Mais, dans la plupart des cas, personne ne va assez loin pour que je lui tape dessus ... Enfin, ça dépend. On tombe toujours sur des crétins mal-embouchés qui pensent mieux connaître vos limites que vous ne les connaissez vous-même et ignorent tout du sort qui leur est réservé en cas de pépins. Après tout, ils n'ont qu'à pas venir me déranger ! Mais, je crois qu'ils ne le font pas exprès. En plus d'être un excellent orateur- et modeste, avec ça -, un certain charisme émane de ma personnalité et, très souvent, les personnes mal avisées à mon sujet pensent trouver en moi un être de confiance, auquel on peut tout dire sans qu'il ne répète rien. Grosse erreur ... Hmm, je n'en suis pas bien fier, mais je dois avouer avoir un goût pour la trahison on ne peut plus prononcé. Non pas que je veuille spécialement peiner ceux qui m'entourent, mais disons qu'il est toujours amusant de raconter les petits secrets des uns aux autres et ... Vice-versa. Cela m'attire parfois des ennuis mais, étant un membre éminent de la bande la plus connue de Poudlard, il est assez difficile de m'atteindre, que cela soit physiquement ou mentalement. Cette popularité évidente n'agace d'ailleurs pas que les élèves ; certains professeurs m'ont à l'oeil, rien qu'à cause de cela. Ils me trouvent trop agressif, trop imprévisible, trop ... Trop différent des autres, trop anticonformiste, tout simplement. Un rebelle des quartiers chics, disent-ils, en pensant probablement que "m'insulter" me fera réfléchir. En réalité, cela ne fait que m'affecter davantage et, par conséquent, me butter plus encore - si c'est possible - contre l'ordre établi que représente le corps enseignant. Je n'aime pas que l'on me contraigne, je n'aime pas que l'on essaye de me cerner, je n'aime pas que l'on s'intéresse à moi lorsque je ne le veux pas. Je n'aime pas que l'on aille à l'encontre de mes volontés ... C'est aussi simple que ça, mais les professeurs de cet établissement ne semblent pas disposés à l'accepter. Alors, je devrai les y forcer. Rien de bien compliqué, vous verrez ; la provocation, l'arrogance, l'insolence et l'impertinence, je connais, surtout lorsqu'il s'agit de l'agrémenter d'une pointe d'audace, l'ingrédient secret de la famille Lestrange. Je pense malgré tout que, ce qui les gêne le plus chez moi, c'est cette désinvolture fraichement imprégnée d'un cynisme nouveau qui ne s'en ressent pas dans mes notes. Car oui, chez les sang pur, il est de rigueur d'obtenir de bons résultats et personne n'y déroge - mise à part cette triple buse de Sirius, qui, dirons-nous, est l'exception qui confirme la règle. Comment pourrions-nous espérer accéder aux hauts rangs du Ministère en échouant lamentablement à nos examens ? Ce serait impossible, évidemment. Mais pour moi, la question ne se pose pas ; l'envie de tout savoir me poursuit depuis ma plus tendre enfance, qu'il s'agisse des potions, de la défense contre les forces du mal ou, matière bien moins scolaire, des ragots qui circulent dans l'enceinte du château ! Ne pensez tout de même pas que j'ai l'étoffe d'un Serdaigle, hein : l'envie de plonger dans une mer de bouquins n'est pas tellement là, ces temps-ci.

    •• Description physique (150 mots): Je suis assez banal ... Haha, la bonne blague. Moi, banal ? Jamais de la vie ! On me remarque, ou que je sois, quoi que je fasse ! Pourquoi ? Parce que je me donne du mal ! Je déteste me fondre dans la masse et être pris pour une autre personne ; si vous saviez la scène que j'ai faite à une Poufsouffle qui m'avait pris pour son frère ! Le moindre de mes gestes est minutieusement calculé, exactement comme je le fais pour les mots que je prononce, mises à part les fois où je m'énerve et où rien - ni personne, soulignons-le - ne peut m'arrêter. Mon calme apparent, sombre façade d'une nervosité très sensible, est l'admirable remède grâce auquel mes traits sont constamment détendus, n'ombrageant en rien l'illusion d'un moi tout à fait serein et aidant mon aisance en société, qui n'est déjà pas négligeable. Nombreuses sont les demoiselles - sans vouloir m'en vanter, assurément - m'ayant déjà signalé l'attrait qu'avait mon visage, chose que je savais déjà mais qui me flatta tout de même, vous vous doutez bien.

    Pourquoi suis-je si satisfait de l'image que me renvois le miroir chaque matin ? Établissons la liste. Premièrement, j'ai de magnifiques yeux ; les yeux de mon père, parait-il. Ni trop grands, ni trop petits, juste bien ajustés dans leur cavité orbitaire. De jolies iris mordorées, presque noires la nuit tombée, accentuent ce regard pénétrant qui laisse l'impression d'avoir été passé au rayon X en un coup d'oeil. J'ai en plus de cela le nez droit, les lèvres charnues, la peau mate (ou du moins, plus que ne l'est celle de Rodolphus), une musculature plutôt discrète et, je l'avoue, quelques tics assez agaçants. Deux ou trois mèches des cheveux bruns - que je n'entretiens d'ailleurs pas assez - me retombent sur le front, tandis que je visse, derrière mes oreilles parfaitement symétriques, une paire de lunettes de soleil les jours où la lumière est trop forte. Hmm, ça vous suffit, ou ce n'est pas assez ? Je poursuis. J'ai en stock quelques masques, parmi lesquels se trouvent la sympathie, le désintérêt, l'ennui ou encore le charme et l'élégance, que je porte au grès de mes envies mais aussi et surtout selon la compagnie en laquelle je me trouve. Mes goûts vestimentaires, eux non plus, ne sont pas à dénigrer : au château, je me contente de la tenue réglementaire, bien que ma cravate soit toujours de travers et mon insigne entouré de badges animés de ma main, sur lesquels il est possible de lire diverses provocations destinées soit aux professeurs, soit aux Gryffondor. En ville, au contraire, j'opte pour la sobriété et porte des robes de sorcier plutôt longues, pour lesquelles il me paraît inutile de gâcher les artifices dont je dispose. J'ai déjà pour moi une souplesse quasi féline, une démarche élégante, un rire discret mais, pas sans charme ; autant dire que, sur ce plan là non plus, je n'ai rien à envier à mon cher frère.

    •• Histoire (400 mots) :Officiellement, pour moi, la vie débuta un 21 juin 1960. Durant la nuit plus précisément. Une nuit sombre et glaciale de pleine lune, pendant laquelle pluies et vents se déchainèrent comme jamais. Si les dires de mon père sont exacts, je ne voulais sous aucun prétexte quitter la douceur du cocon maternel, comme si j'avais idée du monde cruel qui m'attendait dehors. Ou plutôt comme si le monde se rendait compte du chaos que le petit être que j'étais allait semer et qu'il m'interdisait l'accès à mon futur royaume. Au bout de quelques heures, qui furent surement les pires de l'existence de ma chère maman, je poussai enfin mon premier cri. Un cri déchirant, qui j'en suis certain parvint jusqu'à la lune et transperça la voie lactée. Un cri victorieux, un cri de ralliement, destiné à tous les enfants terribles que comptait le monde dans lequel je désirai plus que tout m'épanouir. Un cri triomphant, marquant le début de mon règne despotique ici bas. Enfin, Rabastan Phoebus Lestrange II était né. Je sais, j'ai le plus stupide patronyme au monde. Mais que voulez-vous, on ne choisit pas ses parents, et moins encore les choix qu'ils font pour nous ! Laissez-moi vous expliquer. Rabastan, pour la signification, l'idée du serpent agile mais surtout rusé, qui se faufile et s'insinue en chacun sans le moindre bruit. Phoebus en hommage au dieu grec, de son nom latin Apollon, auquel on associait les arts et les guérisons médicales mais qui était surtout réputé, d'après mes sources, pour sa beauté 'solaire' et son surnom le plus utilisé, "le brillant". Lestrange, parce qu'ils sont ma famille, mes racines, ma fierté ; un nom que je porte avec orgueil, tant il est respecté et admiré dans le monde sorcier. Un arbre généalogique intact, un sang vierge de toutes les souillures présentes sur cette Terre, des moldus aux cracmols, en passant par les sang de bourbe ou même les sang-mêlés. Enfin, bref, une appellation qui équivaut à mes yeux au plus haut titre de noblesse imaginable. Et, concernant le II ... Bah, II. Je suis Rabastan Phoebus Lestrange deuxième du nom, pour la bonne et simple raison que l'un de mes grands-oncles portait exactement le même nom et que je suis, par déduction, la seconde personne à posséder cette identité. Si mes souvenirs sont bons, le cadre de ce vieux sénile est exposé dans la salle à manger, à côté de la mère de mon père et de ses propres parents. Si vous saviez à quel point il est gênant de manger en sachant que l'on est observé ... Du moins, c'est valable pour les tableaux, car il est vrai que je ne me suis jamais senti particulièrement mal à l'aise en mangeant avec des personnes de chair et d'os que, pourtant, je ne connaissais pas non plus. C'était fréquemment le cas, à l'époque. Père et Mère, comme nous les appelons Rodolphus et moi-même, étaient en effet des mondains confirmés qui adoraient recevoir à dîner, créant eux-mêmes les occasions. Un anniversaire, une guérison, un enterrement, un mariage, une rencontre, quelques rumeurs à se raconter, snober ses voisins ... Tout était prétexte à une invitation. La plupart du temps, lorsqu'un repas était prévu, je remarquai une certaine angoisse, chez ma mère, qui semblait cependant se calmer une fois qu'elle était blottie dans les bras rassurants de mon père. Cela devait être génétique, mais cet homme avait toujours été d'un calme glacial ; à un tel point qu'à certains moments, le simple fait de l'observer me donnait la chair de poule.

    Nous habitions à l'époque un grand manoir de style victorien situé sur le haut d'une falaise qui surplombait la mer, avec pour seul vis-à-vis la campagne, qui s'étendait sur des kilomètres alentour. Rodolphus et moi avions, en ce temps-là, une demi douzaine d'années chacun, voire un peu plus pour mon frère. Nous savions déjà tout de notre monde, le monde magique, dans lequel pratiquer la sorcellerie était un droit inaliénable, voire même un devoir, dans certaines institutions. Les boutiques, les sports, les moeurs .. Rien n'avait de secrets pour le duo que nous formions, plus particulièrement le Quidditch, dont nous étions capables de réciter par coeur les règles, en partant du lancement des balles jusqu'à la manière dont l'arbitre devait tenir son sifflet, en passant par les dimensions règlementaires d'un vif d'or ou encore la biographie complète des joueurs phares de l'époque. C'était un passe-temps comme un autre pour notre père, une stupidité pour notre mère mais, pour nous, enfants crédules que nous étions en ces temps troublés, il s'agissait là d'une véritable religion dont nous suivions tous les préceptes sans exception. C'est fou ce que les gens changent ... Moi le premier. Quelques années après notre arrivée au manoir, je n'étais déjà plus le même ; elle était loin, l'époque du Quidditch et des vases brisés. Désormais, j'avais d'autres occupations : faire quelques farces aux moldus qui osaient s'aventurer par chez nous ou encore accuser mon frère des erreurs qu'il m'arrivait de commettre, sans forcément penser à mal. La vie était belle et le devint plus encore, ce fameux jour de juillet 1971. Les oiseaux gazouillaient, le ciel était clair, les ... [ pour plus de netteté, veuillez consulter l'ouvrage Blanche Neige & les sept nains, disponible aux éditions Disney ]. Bref, c'était une jolie journée. L'arrivée d'une fameuse lettre l'embellit davantage, du moins aux yeux du jeune garçon que j'étais. Mon admission à Poudlard était là, son mon nez, preuve irréfutable que j'étais un sorcier et que les peluches que j'arrivais à faire bouger n'étaient pas une coïncidence. Dieu, que j'étais soulagé ! Malgré la confiance que j'avais en moi, mes pouvoirs constituaient un sujet de réel doute ; notamment à cause de Rod', qui ne pouvait pas s'empêcher de semer le trouble dans mon esprit, un peu plus chaque jour. Mais, à compter de ce jour béni, j'étais un sorcier, un vrai, qui irait dans quelques mois seulement étudier au sein de l'école la plus prestigieuse du monde magique.

    Nous étions arrivés. Quand je dis nous, je parle de ma nouvelle bande de copains et de moi, bien entendu. Sur le quai de la gare, quelques heures plus tôt, j'avais suivi à la trace Rodolphus et m'étais frayé un passage dans son compartiment, pour être certain de ne pas avoir à faire la conversation avec des sang de bourbe, qui salirait ma toute nouvelle notoriété en tant que Lestrange. Avec une pointe de timidité, je m'étais vu présenté à plusieurs individus dont le nom m'était familier ; Bellatrix Black, une Serpentard dont la soeur cadette, Narcissa de son nom, était elle aussi nouvelle à Poudlard, Lucius Malefoy, appartenant à la même maison que Bellatrix et Kurt Mulciber, un grand gaillard de trois fois ma taille qui ne m'inspirait pas franchement confiance. La seule chose que je savais d'eux, hors mis la maison à laquelle ils appartenaient, c'était leurs statuts sociaux ; des sang pur radicaux pour qui les nés-moldus n'avaient pas leur place au sein du château, tout à fait semblables à celui de ma propre famille. Dès cet instant, je su que ces quelques personnes seraient certainement celles dont je serai le plus proche tout au long de ma scolarité ; loin de vouloir ressentir pour eux une réelle amitié, j'imaginai simplement m'immiscer dans leur bande et, petit à petit, acquérir à leur côté une renommée inébranlable.

    Cinq ans plus tard, c'était chose faite. J'avais à présent seize ans et Poudlard était à mes pieds. En m'appropriant la compagnie de gens tels que Lucius Malefoy, Bellatrix Black ou John Avery, j'avais atteint un summum sur l'échelle de popularité. Mon nom et ma perfidie réunis me valaient d'être connu de chacun, que cela soit d'un point de vue positif ou pas, et d'avoir une position stratégique dans les décisions inter-maisonales(?), puisque j'étais l'un des seuls Serpentard capable de ne pas vomir en adressant la parole à un né-moldu. Poufsouffle, Serdaigle, Gryffondor ... Je me forçai à écouter les confidences de certains d'entre eux, pour mieux les rendre publics dès lors qu'ils me tournaient le dos. Je n'y pouvais rien, j'étais comme ça ; un peu fourbe, un peu traître, mais tellement attachant. Alors, après avoir marqué au fer blanc le village dans lequel nous habitions, mes talents de voyou allaient maintenant se propager dans le tout Poudlard, et ce pour encore un an. L'année décisive, durant laquelle je devrais écouler le nombre incroyable de tours que je réservai encore à mes chers camarades.



      III. Behind the computer.


    •• Prénom et/ou pseudo : Jésuus.

    •• Âge : 13 ans.

    •• Comment as-tu découvert le forum ? Par hasard. Ca date, en plus x)

    •• Comment le trouve-tu ? Bien ! Sinon, je présume que je ne serais pas là.

    •• Fréquence de connexion : Heuu.. 5/7 ?

    •• Code du règlement : Ok by Fée

    PS: Je présente d'avance mes excuses à ceux qui liront la fiche, mais j'ai jamais été très douée pour la syntaxe (ni pour la conjugaison, la grammaire, la ... ). 'Fin, bon, j'espère que ça reste tout de même français x) Ah puis aussi, je sais pas c'qui s'passe, mais le modèle de fiche bug un peu avec moi. Voilà, c'est tout ce que j'avais à dire.



Dernière édition par Rabastan Lestrange le Mar 4 Mai - 20:16, édité 1 fois
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Linaewen Van Alen
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MessageSujet: Re: Rabastan Lestrange - Et PAF, ça fait des Chocapics™ !   Rabastan Lestrange - Et PAF, ça fait des Chocapics™ ! Icon_minitimeSam 10 Avr - 12:46

    Bonjour & bienvenue (:
    Après avoir lu ta fiche j'ai le plaisir de t'annoncer que tu as réussi la première étape de validation *on se croirait au bac*. Tu t'es bien approprié le personnage, les lignes sont respectées, bref, bien =)

    Cependant il te reste encore une étape obligatoire à franchir, le test de RP, et oui, d'autant plus que ton rôle est important. Les explications du teste sont , maintenant à toi :

    Citation :
    Rastaban est en cours de potions. Le groupe travaille sur le philtre d'amour. Autour de lui, les groupes se forment, Rastaban observe autour de lui, Narcissa, son binôme, est absente aujourd'hui, elle a décidé de sécher sa journée. Le jeune homme observe autour de lui, les couples sont déja tous formé. Le professeur Slughorn décide alors de lui attribué la personne restante comme binôme. La jeune poufsouffle Lily-Rose Henley. Rastaban tique immédiatement sur la jeune femme, se souvenant d'elle, dans le train : Jean troué et basket en toile, la jeune femme est née-moldue. Étonnant d'ailleurs que jamais il n'ai fait d'elle sa victime. La jeune femme s'avance vers lui, un léger sourire aux lèvres malgré un regard méfiant, elle connait la terrible réputation du serpentard.

    Que va donc faire Rastaban ? Faire tranquillement sa potion ou bien faire payer à la jeune Lily ?
    Tu peux jouer Lily en PNJ, sa fiche est , pour t'aider. Good luck Wink
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